i can feel you up (ab.)

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You hold me without touch.
You keep me without chains.
I never wanted anything so much than to drown in your love and not feel your reign.

© tumblr + gravitybysarabareilles

Personne n'avait son attention à part elle. Peut importe qui se trouvait dans la grande salle, il n'y avait qu'elle à ses yeux. Vanity Fair avait fait une grande fête afin de célébrer la sortie du premier numéro de l'année. Elle venait de revenir au magasine après des années, elle se souvenait encore de cet endroit. Elle avait tout commencé ici et maintenant, elle y revenait après quelques années à vaguer dans les défilers et deux ans à Vogue. Mais Vanity Fair allait toujours rester son endroit favori. De loin, elle devait avoir l'air d'une sans vie. Habiller de sa robe noir, ses cheveux aussi foncé que sa robe tombait derrière son dos et son visage délicat laisse place à toute sa beauté de parraître, mais son visage fixé sur la silouhette qui se dessinait de l'autre côté de la pièce. Plus rien ne bougeait dans sa vision, seulement elle. Elle n'avait aucune idée qui elle était, mais elle voulait le savoir, elle voulait pouvoir avoir cette beauté qui se trouvait si près, mais si loin en même temps. Elle avait de long cheveux, ceux-ci attacher afin de former une longue queue de cheval. Son visage olive rayonnant, ses yeux qui brillant. Jamaias, Abigail n'avait posé son regard sur une créature qui la captivait autant. Autour, les gens bougeaint et parlaient, mais elle, elle n'avait yeux que pour elle. « Non, je le reconnais ce regard. Quel coeur vas-tu aller brisé cette fois-ci ? » Sa rêverie fut brusquement brisé par la douce voix de sa meilleure amie, Annie. Tournant son visage vers la brunette, elle ne put réprimander un petit sourire en voyant l'expression que celle-ci portait. Elle était rendu habituer, habituer de voir la réaction de celle-ci face à sa vie sentimentale, si sentiment il y avait. « Pourrais-tu être plus pessimiste, je crois que tu ne l'étais pas assez. » Un sourire malin se posa sur ses lèvres alors que le regard rempli de jugement d'Annie se posa sur elle, elle lui sourit alors que celle-ci marmona quelque chose qu'elle ne put comprendre puisqu'Annie avait déjà commencé à se diriger vers quelqu'un qu'elle semblait connaître. Repossant à nouveau sur la créature divine qu'elle observait avant que sa meilleure amie ne vienne interrompre ses pensées, elle ne put s'empêcher de sourire en voyant que celle-ci parlait maintenant avec quelqu'un qu'elle connaissait. Elle avait une entrée maintenant.

Elle s'avança tranquillement, se faufilant dans la fouille, verre de champagne à la main. Elle s'arrêta à quelques pas de celle qui occupait sa vision depuis la début de la soirée. Prenant une grande respiration, elle s'avança tranquillement vers l'homme et la demoiselle. « George, mon dieu cela fait si longtemps. » Un faux sourire était plaqué sur ses lèvres, elle ne pouvait pas se soucier moins du dit George, en fait, elle ne le regardait même pas, ses yeux étaient maintenant posé sur celle de la demoiselle. « Abigail, tu es ravissantes. » La voix de l'homme rétentit dans ses oreilles, alors que ses yeux étaient posés sur la demoiselle qui la regardait aussi tranquillement, lui coupant presque le souffle. « Je te présentes Alexis, elle fait partie de nos meilleures mannequins pour cette année. » Le sourire de la photographe s'aggrandissa en entendant le nom de la mannequin se faire prononcer. Elle tendit sa main à celle-ci qui la prit sourire aux lèvres. Le dit George cru comprendre qu'il n'était plus invité dans la conversation puisqu'il parti sans rien dire. Les deux se regardaient, le silence se faisait, mais Abigail était sans mot, quelque chose qui n'arrivait presque jamais, en fait, qui n'arrivait jamais. « Ce n'est pas que de te regarder n'est pas plaisant, mais on ma dit de me tenir loin de toi alors... Enchantée de te rencontrer. » Elle lui souria en silence avant de partir. Abigail la fixait, elle ne savait même pas comment réagir. Jamais cela ne lui était arrivé. Bien sûr, elle était habituer que les gens essayient d'avertir leurs amies de se tenir loin d'elle, mais jamais cela ne fonctionnait. Annie qui était revenue proche d'elle avait un sourire sur ses lèvres que si la photographe aurait pu, elle lui aurait arraché. « Pas un mot Annie, pas un mot. » Elle entendit la demoiselle rire, mais son regard était posé sur celle qui, alors qu'elle n'avait rien dit, l'avait tourné de bord comme-ci elle n'était rien. Non, cela n'allait pas fonctionner ainsi. Personne ne refusait Abigail Bunsham et elle vit en la demoiselle qu'un simple défi qu'elle allait devoir trouver le moyen de pouvoir réussir.