[F] LILY COLLINS ○ I'm friends with the monster that's under my bed

nom, prénom ● écrire ici. âge ○ 24 ans. date et lieu de naissance ● écrire ici. nationalité et origines ○ écrire ici. statut civil ● Célibataire. état monétaire ○ Moyen. traits de caractères ● Franche, drôle , souriante , pleine de vie , sociale , joeuse , extravertie , généreuse , capricieuse , bordélique , cool , sincère , humaine , groupe ○ écrire ici.

L’histoire est totalement libre. il faut juste respecter le fait qu’elle soit ici depuis prêt de 2 ans voir 1 ans. Après d’ou elle vient et ses origines son totalement libre. Je la vois plus d’un milieu modeste mais ce n’est que mon avis. Elle travaille chez Calvin Klein également c’est comme ça qu’elle a rencontré Blaise. Je la vois dans tout sans mannequin je sais pas pourquoi.

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Je sors de ma chambre il est déjà 7h15 et je suis terriblement en retard. C’est fou comme je n’arrive jamais à me réveiller le matin. Je te croise dans la cuisine comme d’habitude tu ne portes qu’un long tee-shirt ne couvrant que la moitié de tes cuisses nues. J’ai l’habitude de te voir ainsi même si à chaque fois cela me perturbe et tu le sais. Tu te retournes vers moi et me fais ton plus beau sourire. Tu me tends une tasse de café que je ne peux refuser. Tu es d’excellente humeur je ne comprends pas pourquoi. « Tu es rentré tard hier soir ? » « Oui très la journée va être longue tu aurais du venir c’était génial y’avait un tas de monde » j’hausse les épaules les soirées ce n’est vraiment pas mon truc mais toi, tu adores sortir tu détestes être enfermer ça te rend folle. Je sais que tu aimerais me faire sortir mais je suis résistant. Quand je t’ai rencontré tu étais nouvelle chez CK un peu paumé je t’ai proposé de venir vivre chez moi pendant quelques temps histoire que tu trouves un appartement mais tu n’es jamais partis. Tu es le rayon de soleil de ma vie mais tu ne t’en rends pas compte. Tu as pris une place quasiment vitale pour moi. Tu me fais tellement rire , tu es maladroite et spontanée , tu es vivante et ça me fait un bien fou. Depuis que je me suis fait plaquer le jour de mon mariage je suis un robot, une machine qui dort, qui bosse, qui mange mais toi peut à petit tu me fais redécouvrir la vie. Maintenant tu as des amis ici beaucoup d’amis tu pourrais partir mais tu le fais pas je crois que tu as autant besoin de moi que j’ai besoin de toi. Je sais pas trop ce que je ressens pour toi de la gratitude, de l’admiration, de l’amour c’est un peu confus mais une chose est sûr c’est que je ne peux pas me passer de toi.